Le cuivre

je confectionne des bracelets et colliers en cuivre
pour les douleurs et courbatures
pour ma part cela fonctionne
du velo avec beaucoup de peine
je suis passé du velo à la moto en 6 mois
j'en ai fabriqué gratuitement pour des personnes ayant des douleurs
80% des personnes ont été soulagées
à ceux que cela interesse j'explique comment les fabriquer

pour la fabrication des bracelets bras ou jambes

du fil electrique ,2,5 mm du commerce

,l'ideal c'est un cable ayant pris de la haute tension

un cutter pour dénuder le cable

une pince coupante

un étau

une visseuse dévisseuse

du papier de verre

Le cuivre et l’homme, et l’utilisation du cuivre en médecine
Le corps humain contient environ 100 mg de cuivre, se trouvant en grande partie dans les protéines.
Les plus fortes concentrations de cuivre se trouvent dans le foie, et, dans une moindre mesure, dans
le cerveau, le coeur et les reins. Le foie est l’organe principal du métabolisme du cuivre. Il y est
stocké et utilisé par les enzymes du cuivre du foie. Dans les périodes d’importante activité du
métabolisme et de construction de l’homme, les quantités de cuivre mesurées sont beaucoup plus
élevées. Chez les femmes enceintes, la teneur en cuivre du sérum est presque deux fois supérieure à
la normale. Chez les nouveau-nés, la teneur en cuivre du foie est de 3 à 10 fois supérieure à celle du
foie d’un adulte. Les enzymes du cuivre participent, entre autres, à la mobilisation du fer, qui est
ainsi disponible pour la synthèse de l’hémoglobine. Un apport quotidien de 2 à 5 mg de cuivre est
suffisant pour l’être humain, apport fourni par une alimentation variée. Les symptômes d’une
carence en cuivre sont l’anémie, la faiblesse des défenses immunitaires, les maux de tête et la
diarrhée.
D’après la conception anthroposophique de la nature et de l’homme, le cuivre agit activement
comme stimulant de la chaleur grâce à ses propriétés enveloppantes et stimule ainsi les fonctions de
structuration (voir ci-dessus l’exemple des femmes enceintes et des nouveau-nés). L’intensité –
croissante, localisée ou faible – des processus liés au cuivre chez l’homme peut être évaluée d’après
des symptômes bien déterminés. Des remèdes adaptés, à base de cuivre, seront utilisés en
homéopathie et en médecine anthroposophique. Les préparations à base de cuivre agissent sur les
fonctions rénales en dirigeant les éliminations. Elles agissent également sur le métabolisme
protidique, ainsi que sur les fonctions de la glande thyroïde. Dans les années 20, Rudolf Steiner
donna, avec l’aide de médecins, des conseils thérapeutiques concernant les remèdes à base de
cuivre, et ce pour différentes maladies