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| DECLIC ANNONCE | |
| | Auteur | Message |
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Admin Admin
| Sujet: DECLIC ANNONCE Mer 21 Avr 2010 - 9:44 | |
| Six nouveaux guides Déclic vous accompagnent pas à pas 17-04-2010 DéclicDepuis décembre 2009, six nouveaux guides ont enrichi les éditions Déclic : Les aides financières, Parents, vos droits, Après l’annonce du handicap, Après ses 18 ans, Sa scolarité, Son établissement. Questions à Sylvie Boutaudou, rédactrice en chef. Pourquoi cette collection ?Le « monde du handicap » a besoin d’être décrypté pour les familles, même si elles sont bien informées par ailleurs. Très concrètement, il faut connaître les aides sociales, les structures, les interlocuteurs dédiés au handicap pour bénéficier de ce que la loi prévoit. À la rédaction de Déclic, nous recevons régulièrement le témoignage de parents qui n’ont pas sollicité l’AEEH pendant des années alors qu’ils avaient droit à cette allocation. Pourquoi ces thématiques ?Les lois changent, les comportements et les aspirations des familles aussi. Les parents – et en particulier les mères – sont de plus en plus nombreux à souhaiter poursuivre leur vie professionnelle. D’où Parents, vos droits, qui liste notamment les congés et les aménagements que les entreprises doivent accepter. Par ailleurs, les familles savent que de nouvelles aides humaines, financières, techniques sont disponibles, mais qu’il faut pour cela remplir des dossiers dont la forme évolue sans cesse (Les aides financières). Autre évolution en cours : un enfant handicapé en 2010 aura une vie plus indépendante que s’il était né il y a vingt ans, d’où l’intérêt de se préoccuper tôt de son avenir (Après ses 18 ans) et de lui offrir une expérience riche dans des écoles plus ouvertes (Sa scolarité) ou des établissements spécialisés davantage centrés sur les apprentissages (Son établissement). En somme, il s’agit d’accompagner les familles pas à pas dans la découverte des règles du monde du handicap, pour les aider à obtenir ce qui leur est dû et à faire valoir leurs choix de parents. Les aides financières, Sa scolarité, Son établissement, Parents, vos droits, Après l’annonce du handicap, Après ses 18 ans, 25 € l’unité (tarif dégressif à partir de deux guides). A commander sur la boutique en ligne http://boutique.magazine-declic.com/boutique/liste_produits.cfm?type=2&code_lg=lg_fr&pag=1&num=0 ou en appelant le 04 72 84 00 10 | |
| | | Admin Admin
| Sujet: Re: DECLIC ANNONCE Mer 21 Avr 2010 - 9:47 | |
| Motricité fine : les méthodes pour aider votre enfant
17-04-2010
Il peine à fermer une porte, ne sait pas boutonner sa chemise, ni saisir un gobelet. En psychomotricité, le travail portera sur la mobilité manuelle et la coordination œil/main. Avec son kiné, il apprendra à moduler son tonus musculaire. En ergo, il sera mis en situation pour mieux affronter le quotidien. 10 professionnels (issus de disciplines variées) et 6 parents-témoins apportent leur expertise sur les rééducations qui peuvent l’aider.
Le rôle de la psychomotricité Travailler la prise en main En séance de psychomotricité, le travail portera d’abord sur la mobilité manuelle. L’idée est d’entraîner ou de réactiver le mécanisme d’ouverture et de fermeture des doigts sur l’objet, la dissociation et la rotation des doigts. La rééducation implique aussi d’adapter son geste en fonction de la forme et de la taille de l’objet. « Nous cherchons avec l’enfant la meilleure manière de saisir un objet pour rendre le geste le plus facile et le plus efficace possible, explique Sophie Allard, psychomotricienne. Cela passe par des jeux qui font intervenir la paume, le pouce et les doigts : on ramasse, on tient, on lâche, on empile, on encastre, etc. » Un travail complété en ergothérapie par des mises en situation filmées, comme l’explique Gwénaëlle Lefévère : « Je filme l’enfant en train de saisir une grosse vis de Meccano, par exemple. Je lui montre la vidéo, je lui demande si son geste est perfectible, et on y retourne ! »
Le point de vue du kinésithérapeute Stimuler les sens La dextérité ne se résume pas à bien saisir, il faut aussi savoir moduler sa force (pression, contraction). « Chez les enfants porteurs de troubles sensorimoteurs, la qualité des informations transmises au cerveau par les sens est affectée, note Jean-Claude Riou, kiné-conseil au sein de l’AFM. En réponse, le réglage du tonus musculaire est donc approximatif et les gestes sont mal dosés. » La kinésithérapie permettra d’entraîner le système sensoriel de l’enfant en le mettant par exemple au contact de textures diverses (du riz, de la semoule, des billes, des balles en mousse, des ballons de baudruche) ou de températures variées. De cette façon, les informations transmises au cerveau vont s’affiner et la réponse musculaire sera plus appropriée.
Les astuces de l’ergothérapeute Coordonner ses gestes « En ergothérapie, la plupart des exercices dédiés à la coordination des gestes convergent vers un seul objectif : faire prendre conscience à l’enfant que ses deux mains peuvent agir indépendamment et que ce savoir-faire lui sera utile au quotidien, note Gwénaëlle Lefévère. Nous utilisons une approche progressive en augmentant la difficulté au fur et à mesure : emboîter-déboîter, transvaser, enfiler des perles, visser-dévisser… » Le principe est le même pour la coordination œil-main : « On propose d’abord à l’enfant de pointer un objet du doigt. Lorsque ce geste est acquis, on lui demande de pointer l’objet, puis de le saisir, et de le déplacer en le suivant des yeux, etc. »
Retrouvez la suite de cet article dans notre dossier consacré aux « Troubles du geste » dans Déclic n°135 (mais-juin 2010) http://boutique.magazine-declic.com/boutique/liste_produits.cfm?code_lg=lg_fr&type=3 avec aussi :
•Une interview de Michèle Mazeau, médecin de rééducation, spécialisée en neuropsychologie infantile, qui explique « Pourquoi (et comment) se préoccuper des troubles du geste » ; •Les astuces et les conseils d’une ergo, d’une psychomotricienne, d’un orthoptiste, d’un kiné, d’une graphothérapeute, d’une neuropsychologue si votre enfant « ne sait pas s’organiser », « bouscule ou casse tout », « lit très mal », « écrit de façon illisible », « ne sait pas se servir de l’ordinateur » ; •Un focus sur les causes possibles du trouble en fonction des symptômes ; •Un tour d’horizon des méthodes et concepts rééducatifs à connaître : Pető, Snoezelen, l’intégration neurosensorielle, Affolter, le concept Bobath, Fransya, Ouros, ABC Boum etc. ; •Les témoignages de parents d’enfants porteurs de troubles du geste, qui racontent leur parcours de rééducation ; •Une présentation de jouets qui peuvent aider votre enfant à surmonter ses difficultés ; •Des idées d’exercices « à faire à la maison ». | |
| | | Admin Admin
| Sujet: Re: DECLIC ANNONCE Mer 21 Avr 2010 - 9:51 | |
| Bernard Werber : « Je suis atteint d’une maladie orpheline »
17-04-2010 Bernard Werber est écrivain. Il est l’auteur du best-seller « Les fourmis ». Son dernier roman, « le miroir de Cassandre », aborde la question de l’autisme. Pour Déclic, il s’est livré sur sa propre expérience du handicap.
Déclic : Que vous évoque le handicap ? Bernard Werber : « Mon enfance. Je suis atteint d’un syndrome rare : la spondylarthrite ankylosante (SPA), un rhumatisme inflammatoire qui touche les articulations. Les premiers symptômes sont apparus quand j’avais 8 ans. Mais à l’époque, cette maladie n’avait pas encore été identifiée. Ainsi, pendant plusieurs années, personne ne comprenait ce qui m’arrivait : je me levais parfois le matin avec des douleurs très fortes dans le dos et dans les articulations. Je devais même m’aider d’une canne pour aller à l’école. C’était étrange : je me retrouvais avec un corps de vieux alors j’étais très jeune. Certains médecins disaient à mes parents, incrédules, que c’était psychosomatique… »
Comment avez-vous réagi à l’annonce du diagnostic ? « Le syndrome a été découvert en 1979, par Jean Dausset, un immunologue français, qui a d’ailleurs reçu le prix Nobel de médecine en 1980. Je l’ai vécu comme un soulagement : j’avais 17 ans et enfin je connaissais le nom de l’ennemi. Pour autant, il n’existe pas de remède pour guérir de la spondylarthrite ankylosante, seulement des traitements qui soulagent la douleur : l’aspirine, certains anti-inflammatoires et les sels d’or qui protègent les articulations. Le point positif, tout de même, c’est que celle maladie m’a exempté de mon service militaire. »
Comment la maladie a-t-elle évolué et comment la vivez-vous aujourd’hui ? « L’un des facteurs déclenchant de mes crises était le stress. Je vivais mal l’école et quand je suis sorti du système scolaire, la maladie a perdu du terrain. Néanmoins, même si les poussées sont plus rares, je vis toujours avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Cette hantise de la sclérose se retrouve d’ailleurs dans mes romans, mes personnages sont toujours en marche, en mouvement, jamais statiques. » | |
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| Sujet: Re: DECLIC ANNONCE | |
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| | | | DECLIC ANNONCE | |
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